Maladie chronique - Notre processus de soutien
Quel type d'orientation fournissons-nous ? Il s'agit d'un processus très collaboratif et unique pour chaque client, mais voici quelques-uns des sujets que nous explorons !
Système de soutien
De quel type de soutien avez-vous besoin dans votre vie ? Souvent, lorsqu'on interroge les personnes atteintes d'une maladie chronique sur leur réseau de soutien, elles déclarent avoir beaucoup de soutien autour d'elles. Cependant, lorsqu'on leur demande si elles utiliser le soutien ou s'il s'agit de la type Nous apprenons qu'ils ne sont pas soutenus de la manière dont ils souhaitent l'être. Nous explorons donc souvent ce qu'ils veulent et ce dont ils ont besoin, et comment le communiquer à leur réseau de soutien.
Par exemple, si un client souffre de la maladie cœliaque et a du mal à sortir avec ses amis, il peut leur suggérer un restaurant où ils peuvent manger un repas sans gluten qu'ils apprécient. Il faut parfois de l'entraînement pour s'ouvrir à ce qui rend la vie un peu plus facile avec une maladie chronique. Cela nous amène à notre prochain sujet !
Affirmation de soi
Il n'y a pas d'outil plus important dans la boîte à outils d'une personne qui vit avec une maladie chronique. Elle doit apprendre à s'affirmer dans sa vie personnelle, dans le monde professionnel et dans le système de santé. Qu'est-ce que l'affirmation de soi ? C'est une communication claire et directe.
Nous aimons la décrire comme le sentiment de "se tourner vers" les autres et d'essayer de communiquer ses pensées et ses sentiments aussi clairement que possible. Ce n'est PAS de l'agressivité, qui consiste à se "tourner contre" les autres. Elle nous aide à éviter de réprimer nos pensées et nos sentiments, ce qui revient à nous "replier sur nous-mêmes". La répression des émotions est un moyen infaillible de développer le ressentiment et la colère.
La colère fait l'objet d'une grande honte dans notre société, mais nous recommandons de considérer la colère comme un signe très important et puissant que quelque chose ne va pas et doit changer. Il n'y a pas de mal à être en colère, ce sont les actions que nous entreprenons lorsque nous sommes en colère qui comptent. Il est possible d'exprimer sa colère sans être agressif ou passif-agressif. Optez plutôt pour une communication claire et directe.
Par exemple, une personne diabétique qui travaille comme caissière et qui est anxieuse à l'idée de gérer une hypoglycémie pendant une longue période de travail peut avoir besoin de dire à son superviseur qu'elle a besoin d'un en-cas à proximité, plutôt que dans la salle du personnel. S'ils peuvent partager les raisons et expliquer ouvertement pourquoi c'est important, ils peuvent rester calmes et ancrés dans la réalité. S'ils se renferment sur eux-mêmes, ils risquent de ne pas bien gérer leur frustration lors d'une période de travail difficile.
Compassion de soi en pleine conscience
La pratique de la bienveillance et de l'appréciation de soi est essentielle pour bien vivre avec une maladie chronique. Nous ne pouvons pas résoudre tous les problèmes liés à la vie avec une maladie chronique, mais nous pouvons rebondir plus rapidement après des revers ou des moments difficiles si nous appliquons la bienveillance à notre souffrance. L'auto-appréciation consiste à se féliciter de la façon dont on s'en sort. Ces compétences nous aident à vivre plus sereinement avec notre maladie.
Pour explorer ces méthodes d'adaptation à la maladie chronique et en découvrir d'autres, prenez contact avec nous. nous contacter aujourd'hui ! Pour vivre plus sereinement avec la maladie, il faut trouver un équilibre entre les aspects yin et yang de l'autocompassion. Kristen Neff, fondatrice de l'autocompassion attentive, explique que le yin représente une approche plus douce, tandis que le yang incarne une qualité plus active et protectrice. Par exemple, après une journée de baisse d'énergie, pratiquez l'autocompassion en vous réconfortant avec du repos ou un bain chaud, en reconnaissant que vous méritez cette pause. Vous pouvez aussi adopter le côté yang de l'autocompassion en vous protégeant et en affirmant que vous méritez mieux, sans vous comparer aux autres, tout en relevant les défis qui vous sont propres.
Kristen Neff, l'une des fondatrices de l'approche de l'autocompassion en pleine conscience, décrit le "yin et le yang" de l'autocompassion. Le yin est le côté le plus doux, le plus gentil. Le yang est le côté plus actif et même "féroce", avec une qualité protectrice. Par exemple, si vous vous sentez autocritique après une journée de baisse d'énergie, vous pouvez vous réconforter en vous reposant ou en prenant un bain chaud et en vous disant que vous méritez cette pause. En revanche, si vous utilisez le côté yang de l'autocompassion, vous pouvez vous protéger en vous disant par exemple : "Je mérite mieux que cela ! Je n'ai pas besoin de me comparer aux autres alors que je vis avec mes propres défis".
Pour explorer ces méthodes d'adaptation à la maladie chronique et en découvrir d'autres, contactez-nous et nous vous aiderons à les mettre en œuvre. contactez-nous dès aujourd'hui !